Fiche de lecture : High-performer turnover and firm performance: The moderating role of human capital investment and firm reputation

Kwon, Kiwook; Rupp, Deborah E. Journal of Organizational Behavior. Jan2013, Vol. 34 Issue 1, p129-150. 22p. DOI: 10.1002/job.1804.

Kiwook Kwon est professeur adjoint des ressources humaines et comportement organisationnel à la School of Business à l’Université Konkuk à Séoul , en Corée. Ses intérêts de recherche portent sur la gestion stratégique des ressources humaines , les relations entre le chiffre d’affaires des employés et la performance des entreprises , la justice organisationnelle et top management des talents. Deborah Rupp est le président William C. Byham en psychologie industrielle / organisationnelle , Département des sciences psychologiques , et d’un membre du corps professoral affilié à l’École Krannert de la gestion , à l’Université Purdue . Elle mène des recherches sur le comportement à plusieurs niveaux d’organisation et les questions de ressources humaines , de la justice , de l’émotion , et la responsabilité sociale et est actuellement rédacteur en chef du Journal of Management.

 

Cet article fait référence à l’importance de la réputation d’une entreprise sur son turnover et sa performance.

 

La réputation est définie comme « une représentation perceptive des actions passées de l’entreprise et les perspectives d’avenir qui décrit l’attrait général de l’entreprise à l’ensemble de ses constituants principaux par rapport aux autres principaux rivaux ” ( Fombrum , 1996 , p . 72 ) . Ils pensent que c’est une variable à considérer, car il est essentiel à l’entreprise de remplacer les employés performants qui quittent l’entreprise. La recherche souligne que l’interchangeabilité des sortants est l’un des facteurs clés dans la relation entre le chiffre d’affaires des employés et la performance des entreprises ( Abelson & Baysinger , 1984 ; Dalton et al ., 1982; Mobley , 1982 ; Prix , 1977 ; Staw , 1980 ). L’interchangeabilité des sortants peut être largement affectée par la mesure dans laquelle les employés nouvellement embauchés effectuent avec succès les tâches que les quittant ont mené, ainsi que la quantité et la qualité des travailleurs potentiels qui cherchent à adhérer à une organisation.

 

Ainsi, une deuxième attente pourrait être qu’une réputation positive réduirait l’impact négatif de turnover sur la performance des entreprises et les entreprises de grande réputation pourraient être en mesure d’attirer plus de candidats de qualité supérieure pour remplacer les sortants de haute performance, par rapport avec des entreprises de faible réputation, réduisant ainsi leurs coûts de remplacement (Farrell & Hakstain , 2001 ; Turban et câbles , 2003 ) .

 

Selon l’auteur, une solide réputation animerai la relation négative entre le roulement de « high performer » et la performance de l’entreprise tels que cette relation négative serai plus forte pour plus d’entreprises de bonne réputation .

Fiche de lecture : Corporate Twitter Channels: The Impact of Engagement and Informedness on Corporate Reputation

Ting Li, Guido Berens, and Maikel de Maertelaere (2013). Corporate Twitter Channels: The Impact of Engagement and Informedness on Corporate Reputation. International Journal of Electronic Commerce / Winter 2013–14, Vol. 18, No. 2, pp. 97–125.

Cet article pose la question suivante : L’amélioration de l’engagement du consommateur sur une chaine twitter influence-t-elle l’image d’une entreprise et sa crédibilité aux yeux de ses followers ? Une entreprise peut-elle améliorer l’engagement des utilisateurs et leur fait d’être informé en modifiant certains facteurs de conception dans le cadre de la chaine Twitter ?

Pour l’étude menée, une entreprise fictive de café nommée « Beans’n coffee » a été crée. En effet, une large partie de la population consomme du café, il était également facile de se comparer à la marque Starbucks qui est très présente sur Twitter et les entreprises de café n’ont entrainé que peu de sujets controversés.

Ils ont manipulé les différentes options de communauté Twitter et exploré les relations entre les 3 facteurs de conception utilisant un facteur expérimental 2x2x2 avec :

  • la profondeur de la relation (haute ou faible)
  • la participation des entreprises (haute ou faible)
  • et le but (générique par rapport spécifique)

comme facteurs inter-sujets.

Pour ce faire, ils ont manipulé la profondeur de la relation dans la mesure ou les utilisateurs auto-divulgue leur identité. Ils ont aussi modifié plusieurs autres facteurs pour créer des scénarios à haute et faible profondeur, y compris des photos, le nom et le stylé d’écriture.

Ils ont aussi manipulé le degré de participation des entreprises grâce à la présence d’utilisateurs qui affichent les tweets sur Twitter au nom de la Beans’n coffee.

Pour finir, ils ont créé deux types de canaux Twitter sociétés ayant une portée différente : un canal au but générique et un canal au but spécifique pour les questions fréquemment posées.

Dans l’analyse des principaux effets , les résultats montrent que l’engagement et le fait d’être informé ont des relations solides et positives significatives avec la réputation des entreprises. Les résultats montrent également que la crédibilité du canal a des effets positifs sur l’engagement et sur ​​le fait d’être informé. En outre, aucune des variables manipulées (profondeur de la relation, la participation des entreprises, et le but de canal) a un effet principal significatif sur l’engagement et le fait d’être informé.

Tout d’abord, la conclusion est que l’engagement des utilisateurs et le fait d’être informé par un canal Twitter d’entreprise, ont une relation positive avec la réputation de l’entreprise. Deuxièmement, la crédibilité du canal Twitter entreprise a une relation positive avec l’information partagé à l’utilisateur à propos de la Société . Troisièmement, les trois facteurs de conception – profondeur de relation, participation des entreprises, et but du canal -affectent l’engagement des utilisateurs et leur information.

Plus précisément, les résultats suggèrent un effet d’interaction à trois voies entre ces facteurs. En effet, des relations plus profondes entre les utilisateurs d’un canal Twitter d’entreprise résultent d’un engagement des utilisateurs supérieur et d’une meilleure information lorsque le niveau de la participation des entreprises avec le canal est élevé et lorsque le canal a un but précis ; le contraire est vrai lorsque le canal a un but générique.

 

En ce qui concerne les conclusions et les approches futures :

Tout d’abord, l’étude s’est concentrée sur l’engagement relationnel et a utilisé le sentiment d’appartenance à la société et aux autres utilisateurs en tant que mesure de l’engagement, car le contexte expérimental rend irréaliste le fait d’examiner la mesure dans laquelle les gens sont impliqués dans un processus d’apprentissage, ou de leurs intentions à utiliser le canal à l’avenir. Les recherches futures devraient inclure les deux autres dimensions de l’engagement : l’engagement cognitif et l’engagement comportemental. Dans un contexte réel, on peut aussi mesurer l’engagement utilisant la quantité de temps ou de fréquence d’interaction des gens avec l’entreprise et le temps qu’ils passent sur ​​les plateformes de médias sociaux.

De plus, les études futures pourraient tester la généralisation de nos résultats dans d’autres situations telles que les crises ou les décisions organisationnelles controversées. Ils peuvent inclure des paramètres qui sont impliquant plus émotionnellement , et se concentrer davantage sur les aspects «corporate» de la société ( plutôt que seulement ses produits et services) .

Enfin, l’étude n’est basée que sur l’étude de Twitter donc les résultats seront surement différents sur d’autres médias sociaux. Les recherches futures devraient aussi augmenter la taille et la représentativité de l’échantillon, ce qui peut améliorer la fiabilité et la validité des résultats.

Fiche de lecture : Validation of the customer-based corporate reputation scale in a retail Context

Référence : Nic S. Terblanche. (2014). Validation of the customer-based corporate reputation scale in a retail Context, International Journal of Market Research, Vol. 56 Issue 5

Cet article traite de la réputation des entreprises, basé sur les réponses de consommateurs dans le contexte des supermarchés.

Tout d’abord, l’auteur définit l’importance pour une entreprise d’avoir une réputation dite positive. Ainsi, les entreprises ayant une réputation positive bénéficient de bénéfices supérieurs à long terme.

La réputation des entreprises a aussi été prouvé comme ayant des influences positives sur la confiance des consommateurs ainsi que sur leur fidélité. Elle offre également à l’entreprise un avantage compétitif.

Peu d’études se sont concentrées sur la mesure de la réputation des entreprises du point de vu des consommateurs alors que ces derniers sont considérés comme les plus importants acteurs car ce sont eux qui prennent la décision final d’achat.

Les études réalisées précédemment ont surtout été fondées sur des réponses de consommateurs industriels concentrés sur les sources de la réputation des entreprises. De plus, la conceptualisation et la mesure de la réputation des entreprises sont limitées à cause de plusieurs aspects.

Il existe deux outils récents (CBCR) qui permettent de mesurer la réputation des entreprises grâce aux consommateurs. Le premier outil considère la réputation des entreprises comme une attitude multidimensionnelle et définit le CBCR comme une évaluation faite par le consommateur basé sur sa réaction aux produits de l’entreprise, aux activités de communication, leur interaction avec les entreprises et les représentants de l’entreprise.

L’outil a été testé aux Etats Unis dans 3 services différents (banque, retail et fast-food) résultant dans une échelle à 5 dimensions : l’orientation du consommateur, l’entreprise est elle un bon employeur, la fiabilité financière de l’entreprise, la qualité des services/produits, et la responsabilité sociale de l’entreprise.

L’auteur avait crée un questionnaire à base de 15 outils qui mesuraient 5 dimensions de la version de CBCR ainsi que 13 autres outils pour mesurer la fidélité, la confiance, le « repatronage intentions » ainsi que la réputation.

L’étude de l’auteur a était faite sur un supermarché d’Afrique du Sud, il serait donc intéressant d’étendre cette étude dans d’autres pays où les perceptions des consommateurs seraient différentes. Cela permettrait donc de comprendre plus de choses sur la réputation de l’entreprise et surtout comment celle-ci influence les perceptions du consommateur.

Fiche de lecture critique : Enhancing the effects of social network site marketing campaigns

Fiche de lecture critique :

 

Introduction : la signalétique          

Van Noort G., Antheunis M., J. Verlegh P. W. (2014). Enhancing the effects of social network site marketing campaigns, International Journal of Advertising, Vol. 33 No. 2, pp. 235-252/2014.

 

I-Situation

Les sites de réseaux sociaux et les autres formes de social média sont de plus en plus utilisés pour la publicité des marques. En 2011, 11% des dépenses pour la publicité en ligne ont été dédié aux sites de réseaux sociaux, ce budget est sans cesse en augmentation.

Quel est le contexte du cas étudié ou de la date de l’étude (exemple un travail sur le bien être intervenant après un loi sur le bien-être au travail).

 

II-Problème 

Comment l’auto divulgation des informations personnelles sur les consommateurs peut elle être utilisée par les marques ? Comment ces informations peuvent aider à créer une relation entre les consommateurs et la marque.

 

III-Solution :

Les auteurs expliquent qu’on peut répondre à ces questions grâce à la théorie de communication interpersonnelle. Cette théorie explique que communiquer des informations personnelles à d’autres personnes va créer une rétroaction en ligne et hors ligne et lier les acteurs.

En ce basant sur la théorie des réponses social, l’auteur énonce également qu’en plus de lier les hommes entre eux, l’auto divulgation des informations personnels lie les humains aux ordinateurs. C’est pourquoi il est important que les publicités soit personnelles et interactives pour d’avantages lier l’homme à son ordinateur et son monde virtuel. Les campagnes sur les sites de réseaux sociaux doivent être humanisé.

Les résultats des recherches de ses auteurs montrent qu’une stratégie publicitaire accès sur la vie privée des consommateurs permet aux consommateurs de révéler des renseignements personnels en interagissant avec la publicité, l’annonce. La publicité sur les réseaux sociaux devrait donc prendre en compte la vie privée et se montrer préoccuper. Cette étude à montrer que c’était un facteur important de l’auto-divulgation des données.

Ces résultats sont également applicables lorsqu’on parle de relation entre le client et la marque.

 

IV-Information :

Les résultats et solutions de ces auteurs ont été déterminées après avoir mis en place des études expérimentales sur 94 participants de 18 ans et plus, ayant tous déjà utilisé internet au moins une fois dans leurs vie. Ils ont ensuite récupéré et ont analysé leurs réponses. Ils ont pu en conclure des résultats.

Fiche de lecture critique :The Six Principles of Digital Advertising

Fiche de lecture critique :

Introduction : la signalétique

Taylor C. R. (2009). The Six Principles of Digital Advertising, International Journal of Advertising, Vol. 28 No. 3, p411-418/2009.

 

I-Situation

L’auteur part d’une situation ou la publicité sur internet apparaît en 1994 pour expliquer les nouveaux medias et mettre en évidence 6 principes de la publicité digitale adaptés à ses nouveaux médias.

Le contexte de cet article est le développement des réseaux sociaux, en particulier du site web twitter.

 

II-Problème 

A son commencement la publicité sur internet n’a pas été une réussite. L’utilisation de formats publicitaires, tels que des annonces pop-up et des courriels publicitaires, a contribués à son échec. A partir de 2005, l’accès à internet, les utilisateurs et les possibilités de recherches et d’utilisations se sont multipliés. Les sociétés de moteur de recherche et les publicitaires on compris l’importance du ciblage comportemental par rapport au recherche de chaque personne. La publicité sur internet c’est énormément développé depuis 2005 plus vite que tout les autres média.

On a donc récemment apprit de nombreuses techniques de publicité sur internet, mais qu’elles sont les principes clés à retenir et adopter dans ces nouveaux médias.

 

III-Solution :

L’auteur défini 6 principes dans la publicité sur internet. Trois sur la considération des consommateurs, deux facteurs exécutifs qui peuvent être utilisés pour la conception de la publicité et un sur la philosophie de la publicité.

Les solutions proposées par l’auteurs sont :

«Digital Advertising principe 1 : maketers must be sensitive to consumer concerns about privacy and spam »

L’utilisateur considère l’utilisation d’internet comme très personnel, il navigue dans « son monde ». L’utilisateur doit se sentir en sécurité, c’est pourquoi il ne faut pas le noyer de spam ou de messages. Il est préférable de demander à l’utilisateur avant de lui envoyer un message, il sera plus attentif car il recevra la publicité par choix.

«Digital Advertising principe 2 : comsumers are more likely to be receptive to digital ads from marketers they trusts. »

D’après des recherches les utilisateurs seront plus attentifs à une publicité si elle vient de marketers en qui ils ont confiance et qu’ils connaissent.

«Digital Advertising principe 3 : consumers are more likely to be receptive to respond digital ads for products that re relevant to them »

La pertinence du messages est un élément majeur dans l’attention que l’utilisateur va porter a la publicité.

« Digital advertising principe 4 : digital approaches that incorporate interactivity are more likely to be effective »

l’interactivité est la clés du succès, comme par exemple question réponse, quizzes, chat en ligne.

« Digital adrvertising principe 5 : advertising messages that are entertaining have a higher chance of success in the digital context »

Le message doit être attrayant et divertissant pour captiver le client et qu’il porte plus d’attention a la m-publicité ou au site visité.

« Digital advertising principle 6 : in the long run, new media messages need to build the brand to be effective »

Internent permet à un marque de se renforcer et de se consolider.

 

IV-Information :

Il faut appliquer ses principes dans la publicité sur internet et sur les réseaux sociaux de façon à se que l’utilisateurs soit attentif et ouvert au message publicitaire.

Les limites de cette articles sont que les articles sont vraiment très ciblées.

Can Old Fiche de lecture critique : Media Enhance New Media? How Traditional Advertising Pays off for an Online

Fiche de lecture critique :

 

Introduction : la signalétique

Pfeiffer M., Zinnbauer M. (2010). Can Old Media Enhance New Media? How Traditional Advertising Pays off for an Online, International Journal of Managment cases, Vol.50 No. 1, pp. 42-49/Mars210.

 

I-Situation

Les campagnes de publicité en ligne et hors ligne créent de la valeur pour les marques, cependant elles sont limitées.

Quel est le contexte du cas étudié ou de la date de l’étude (exemple un travail sur le bien être intervenant après un loi sur le bien-être au travail).

Les investissements publicitaires subissent une diminution constante et importante. Il faut donc trouver de nouveaux moyens de communications qui permettent de dépenser moins d’argent.

 

II-Problème 

L’auteur mélange plusieurs recherches concernant la publicité digitale pour mettre en avant les points positifs et négatifs.

 

III-Solution :

L’auteur utilise les résultats de ses recherches ainsi que d’autres recherche pour mettre en avant des principes applicable à la communication digital.

Les données ont permis de conclure que le marketing en ligne donne une valeur et une conscience de marque, lorsque il est bien exécuté. Pour développer la marque ou pour modifier son positionnement pour se différencier de la concurrence il est préférable d’utiliser un moyen de communication plus classique et moins ciblé. Le directeur de communication doit savoir doser l’utilisation de plusieurs canaux de communications simultanément.

Le bouche à oreille à un impact positive sur les marques, il lui permet de se faire connaître et de gagner de nouveaux clients potentiel simplement en étant partagé par ses clients actuels.

 

IV-Information :

L’auteur a déjà vérifié ses solutions puisqu’elles proviennent d’études.

L’étude est valable actuellement mais devra être renouvelée car le marketing doit s’adapter a chaque changements de comportement de ses clients potentiels.

Fiche de lecture critique : The Marketer’s Dilemma: Focusing on a Target or a Demographic? The Utility of Data-Integration Techniques

Fiche de lecture critique :

 

Introduction : la signalétique

Hess M., Doe P. (2013). The Marketer’s Dilemma: Focusing on a Target or a Demographic? The Utility of Data-Integration Techniques, Journal of Advertising Research, Vol. 53 No. 2, pp. 231-236/Jun2013.

 

I-Situation

La majorité des agences de nos communications utilisent, aujourd’hui la publicité ciblée au détriment de la publicité de masse. Pour cela elles doivent recueillir des données sur les clients.

Dans un contexte de crise économique et de multiplication de données sur le client, les agences de communications cherchent à toucher le plus de clients potentiel en dépensant moins d’argent.

 

II-Problème 

Le problème est de comprendre comment recueillir et traiter toutes ses données.

L’auteur clarifie un sujet qui peut avoir l’air très complexe en explicitant les points clés.

 

III-Solution :

L’auteur détail, pour commencer les différents types de récupérations de données puis les différents puis différentes méthodes de récupération de données.

« Directly Matched Data » consiste à réunir les donnés personnels clés tels que l’adresse le noms ou les cookies. C’est données viennent généralement d’une seule base de donnée.

« Unit-Level Ascription » consiste à imputer des données venant de techniques d’attribution statistique. En utilisant par exemple des variables communes à la télévision et à une base de donnée d’achat de produit.

« Agregate-level integration » consiste à utiliser la segmentation pour grouper er relier en fonction des données. On utilise généralement des données géographique et démographique pour la segmentation, en plus de toutes informations communes aux données.

Ces trois approches sont utilisées pour rechercher, ils doivent utilisés de la bonne manière.

Le term « data fusion » représente de nombreuses méthodes d’intégration de données. Plusieurs bases de données ayant une caractéristique commune vont fusionner pour donner une nouvelle base de donnée avec des donnés similaire.

« Linking variables » consiste en la création d’une base de donnée en liant les données ayant une variable commune.

« Matching the samples » consiste a faire correspondre des données ayant le moins de différence possible lorsqu’il n’y a pas de correspondance parfaite. On va utiliser des algorithmes de fusion et des statistiques pour trouver ces correspondances.

 

IV-Information :

« Validation » : La fusion de données à été utilisé et développé pendant plus de 20 (industry guidelines developed by the Advertising Research Foundation 2003). Trois critères pour relier les données : The samples are well defined and structurally similar; there is a sufficient set of relevant linking variables; and the fusion matches the samples closely across the linking variables.

L’étude est très axée sur l’intégration de donnée, le problème est que le texte est très technique et difficile à comprendre.

Fiche de lecture critique : The importance of the database marketing in social network adverstising, Ineternational

Fiche de lecture critique :

 

Introduction : la signalétique

Gregurec I., Vranesevic T., Dobrinic D. (2011). The importance of the database marketing in social network adverstising, Ineternational Journal of Management Cases, Vol.13No.4, pp.165-172/Dec 2011.

 

I-Situation

En 2011 les entreprises essayent de mieux comprendre leurs clients et leurs comportements. Elles ont compris qu’en utilisant les bonnes données sur leurs clients, les entreprises pouvaient développer un avantage compétitif vis a vis de leurs concurrents. Récupérer et traiter ces donnés sont facilité par le développement de la technologie.

Pour répondre aux désires et besoins de leurs consommateurs, ainsi que pour construire une relation à long terme, les entreprises ont besoins des bonnes informations. Les entreprises doivent constamment collecter des données, les entrer dans une base de donnée puis les transformer en informations pour comprendre ce que veulent leurs consommateurs à chaque moment.

Les réseaux sociaux représentent une des plus grandes tendances du 21ième siècle. Les utilisateurs diffusent de nombreuses informations sur eux mêmes que les «marketers » utilisent.

Quel est le contexte du cas étudié ou de la date de l’étude (exemple un travail sur le bien être intervenant après un loi sur le bien-être au travail).

 

II-Problème 

Après le manque de productivité du marketing de masse et grâce à l’expansion et au développement des technologies d’information, de l’augmentation de l’importance d’internet, de l’intérêt d’une relation client et du besoin de créer un avantage compétitif le besoin de créer un marketing ciblé grâce à la récupération et le traitements de données client.

 

III-Solution :

L’auteur défini ce qu’est une base de donnée marketing et explique les différentes étapes de sa création. Mais également les réseaux sociaux et le marketing associé.

Base de donnée marketing

La première étape pour créer une base de donnée est de déterminer le but de l’utilisation de ces données, déterminer les données utiles. Après il faut déterminer les méthodes et les techniques pour collecter et analyser ces données. Les objectifs de la création et de l’utilisation de cette base de donnée sont d’identifier les clients potentiels, déterminer les consommateurs qui vont recevoir un offre spécialisée, augmenter la loyauté des consommateurs…

Basé sur plusieurs définitions de la base de données les auteurs de cet article ont mis en avant les trois mots clés qui définissent une base de donnée marketing : base de donnée client, productivité marketing et management du consommateur.

Dans ce travail de récupération de donnée et de traitement de donnée il faut faire très attention à ne pas dépasser une certaine limité sur la vie privée de leurs consommateurs car dans ce cas la, l’entreprise perd la confiance de ses clients. C’est la clé pour entretenir une relation avec ses clients.

Les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux ont connu le plus grand des développements sur internet au 21ième siècle. Ils sont considérés comme un nouveau moyen de direct marketing. Il existe plus de 3OO différents réseaux sociaux actifs, ils permettent aux utilisateurs de faire parti d’une large communauté et d’échanger des informations, des opinons.

La publicité et les sites de réseaux sociaux

Les moyens les plus communs de faire de la publicité sur les réseaux sociaux sont les annonces flottantes, les pop-up, les vidéos de publicités. Selon Fisher on mesure l’impact de la publicité sur les réseaux sociaux par le nombre de visiteurs, le prix par visiteurs, visites, taux de rendements, le temps passé dessus… Les trois principales méthodes pour déterminer le prix sont le prix pour mille, le pris par clique, le prix par acquisition.

L’usage des bases de donnée marketing dans le marketing sur les réseaux social

Deux exemples : facebook et myspace

 

IV-Information :

L’auteur démontre au début du texte que c’est une solution indispensable à adopter surtout en ce moment de crise ou les budgets diminuent. Les entreprises doivent se démarquer et proposer un marketing ciblé.

Fiche de lecture critique : Big Data: Friend or Foe of Digital Advertising? Five Ways Marketers Should Use Digital Big Data to Their Advantage

Fiche de lecture critique :

 

Introduction : la signalétique

Fulgoni G. (2013). Big Data: Friend or Foe of Digital Advertising? Five Ways Marketers Should Use Digital Big Data to Their Advantage, Journal of Advertising Research, Vol. 53 No. 4, pp. 372-376/Dec2013.

 

I-Situation

L’auteur part d’une perspective historique de l’arrivée des données 1980s et comment elles ont changé le marché.

Le contexte de cet article est la multiplication des données qui représente un bénéfice important pour les entreprises.

 

II-Problème 

Au début les données ont permis aux entreprises et aux marques de comprendre les tendances. De gagner beaucoup de temps, puisque au début la récupération des données se faisaient en 6 semaines. Les données sont utiles pour optimiser les résultats mais l’optimisation peut mener à l’appât du gain au risque de perdre ses clients.

L’auteur regroupe des informations concernant l’utilisation des données pour une entreprise. Qui permette d’utiliser de manières équilibrées les données, la publicité et la communication digitale.

 

III-Solution :

L’auteur utiliser comment utiliser ses données pour que l’avantage soit optimal. En donnant des principes à respecter.

Internet fournit des données concernant les clicks sur les publicités en temps réels, ce qui permet a la marque de connaître l’efficacité d’une publicité numérique. Il faut comprendre d’où viennent ces cliques pour mettre en place un publicité ciblées et comprendre d’avantage sa cible.

La marque ne doit pas brader ses prix en ligne, elle doit justifier ces prix par un avantage comparatif.

Il ne faut pas abuser des cookies, petit code inséré dans la publicité qui permette de récupérer une quantité massive de données. Les deux problèmes majeurs sont que les cookies sont supprimés fréquemment et il difficile de cibler avec précisions les données géographique.

Il ne faut pas ignorer les consommateurs potentiels en ciblant de manière trop précise. La publicité numérique peut toucher un grand nombre de personnes. Une marque comme ebay qui propose des produits que le client serait susceptible d’acheter, en fonction de ses donnés, vend deux fois plus qu’une marque qui ne le fais pas. Le ciblage peut améliorer à la fois l’efficience et l’efficacité mais peut empêcher la marque de trouver de nouveaux clients. C’est pourquoi il faut trouver le juste équilibre entre l’utilisation de campagne publicitaire, à portée plus large, et de publicité sur internet.

 

IV-Information :

La manière de communiquer change constamment, il faut toujours se réadapter.

Fiche de lecture critique : An economic analysis of online advertising using behavioral targeting

Fiche de lecture critique :

 

Introduction : la signalétique

Jianqing C., Stallaert J (2014). An economic analysis of online advertising using behavioral targeting, MIS Quarterly, Vol. 38 Issue 2, pp. 429-A7/Jun2014.

 

I-Situation

Les technologies de l’information ont radicalement changées, tout particulièrement la façon de mesurer les résultats publicitaire et de cibler les publicités. On peut facilement, aujourd’hui, surveiller le nombre de clique d’une publicité spécifique. Elle permet également de créer des publicités plus ciblées pour le consommateur, par exemple, basées sur les mots clés que le consommateur entre dans un moteur de recherche ou des visites via son adresse IP.

 

II-Problème 

Dans cet article, les auteurs cherchent à savoir si les éditeurs et les annonceurs trouvent un avantage dans le ciblage comportemental par rapport à la publicité traditionnelle mais également comment ce ciblage comportemental affecte les gains des éditeurs et annonceurs.

Les auteurs de cette mette en commun leurs savoir pour répondre à ces question en se servant également d’autres articles tel que The Economist (2008).

 

III-Solution :

Les auteurs utilisent la démonstration pour avancer leurs solutions.

Selon l’article de The Economist (2008), les annonceurs seront prêts à payer plus pour placer leurs annonces sur internet, ce qui veut dire que les site feront payer plus chère leurs espaces publicitaires.

Leurs recherches ont permis de mettre en avant le phénomène de l’effet concurrentiel du ciblage comportemental : la relation coût / click n’est pas toujours vrai surtout quand les emplacements publicitaires sont vendus aux enchères.

Le ciblage comportemental dans les publicités est un phénomène relativement nouveau et les études consacrées à ce sujet sont limitées.

 

IV-Information :

Cette étude est très détaillée et mathématisée, elle est très difficile à comprendre. Elle est basée sur des calcules très précis qui permettent au auteurs de créer une relation entre le prix et les annonces, mais cette relation n’est pas exacte puis qu’elle n’est pas toujours valable.