The Organizational interface: A Method for Supporting End Users of Packaged Software

Author(s) : Stanislas Floret

Les utilisateurs finaux d’ordinateurs sont de plus en plus nombreux dans le monde, et il en est de même pour les utilisateurs de progiciels. Cela a pour conséquence l’explosion du besoin de support de ces utilisateurs.

L’objectif de l’article est de donner des méthodes permettant de fournir l’aide la plus adéquate aux bonnes personnes.

Les besoins de support dans une société peuvent avoir diverses origines, et les manières d’aider les utilisateurs dépendent directement de la cause du besoin.

Il y a cependant un point commun dans la gestion de ces problèmes dans les entreprises, elles utilisent toutes des formes organisationnelles d’aides pour améliorer l’interface utilisateur existante.

Il y a pourtant une alternative à cette méthode : l’interface organisationnelle. Ce nouveau cadre intègre 3 formes de support déjà connues :

  • L’interaction Homme – Ordinateur (CHI)
  • Le management de systèmes d’informations (MIS)
  • Et par l’utilisateur final d’ordinateur (EUC)

Le CHI permet d’introduire une interface au point d’intersection entre l’humain et la machine, elle permet de fournir des interfaces différentes du logiciel, et d’identifier différents critères de mesure de performance.

Cette méthode a des faiblesses. Même si un logiciel peut avoir différentes interfaces, il n’est pas conçu pour d’adapter aux besoins spécifiques d’un utilisateur. De plus, l’aide n’est dirigée que vers le software et hardware et non vers l’organisationnel. Cette méthode fournit donc une aide insuffisante aux utilisateurs.

L’approche MIS, conçu pour des utilisateurs expérimentés en systèmes d’informations, consiste en trois point : L’entrainement, la documentation et la présence de consultants internes. Ce qui est de bien dans cette approche c’est quelle prend en compte les enjeux organisationnels, et de plus, la technologie est placée dans un contexte social.

Les inconvénients de cette approche : le support n’est pas vue comme une partie du système, il ne peut pas y avoir d’échange entre l’interface du système et les formes organisationnels de support, et les forme organisationnels du support sont administrés par différentes sections de la société.

L’approche EUC qui s’adresse à un public principalement de non spécialistes des systèmes d’informations qui utilisent des applications de base.

Ses forces : Cela répond à différents types de population, le support est donné directement dans l’espace de travail, il y a une large gamme de supportsil s’agit d’aides dynamiques.

Ses inconvénients : la forme de soutien par ses pairs est informelle, les caractéristiques de cette forme de soutien n’influence pas dans les décisions d’acquisition de logiciels.

Maintenant, l’approche d’interface organisationnelle.

Cette approche est un mix des trois autres, elle a ce nom car elle emprunte cette notion de positionnement entre l’ordinateur et l’utilisateur de l’approche CHI.

Elle étend les approches MIS et EUC de trois manières. D’abord elle formalise les mécanismes déjà en place mais habituellement non pris en compte jusqu’à la complétion du système de développement, ensuite, elle reconnaît le fait d’etre informels entre collègues comme une composante clé du support global, enfin, elle place le support de forme organisationnel dans le même contexte que l’interface utilisateur.

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