Market research and the ethics of big data

Référence:

Nunan, D., & Di Domenico, M. (2013). « Market research and the ethics of big data ». International Journal Of Market Research, Vol. 55 Issue 4, p2-13. 12p

Idée/ dominante

Le big data peut être vu comme une réelle opportunité pour les entreprises et en même temps une menace pour le utilisateurs tant qu’il n’y a pas d limites

Résumé

Avec le développement des nouvelles technologies, les questions en rapport avec la vie privé apparaissent. « What is whispered in the closet shall be proclaimed from the house-tops » (Warren & Brandeis 1890). En parallèle cette technologie a permis aux marqueteurs de pouvoir mieux répondre aux attentes des consommateurs.

La caractéristique qui tournent autour de la définition du big data:

  • –  Innovation technologique
  • –  Une valeur commerciale
  • –  Vieprivé

    Le big data est susceptible d’avoir un impact dans cinq domaines:

  • –  Le graphique social: la croissance du nombre de données est dû à la volonté des individus à

    échanger notamment sur les réseaux sociaux. Toutefois en continuant à publier des informations ils s’exposent à un échappement de ces informations. Il y a cependant une contradiction de par le fait que sur les réseaux sociaux les utilisateurs n’ont pas que des « amis » dans leur communauté

  • –  La propriété des données: La majorité des données est détenu par les GAFA (google, Apple, Facebook, et Twitter). Même si ces entreprises ne vendent pas actuellement les données des utilisateurs, la question de la propriété demeure puisque celles-ci pourrait à l’avenir être rachetées.
  • –  La mémoire: De nombreuses données sont donc enregistrées et conservées dans le temps, mais parfois ces informations peuvent nuire à la réputation de certaines personnes.
  • –  Une collecte de donnée passive. La collecte d’information ne se fait plus par voie humaine mais de manière automatique et passive. Le big data est maintenant capable de fournir des informations de géolocalisation. Toutefois ces collectes d’information se font sans permission humaine.
  • –  Le respect de la vie privé: La notion de graphique sociale vient contredire un peu cet effet de vie privé puisque les internautes publient de plus en plus d’information sur eux. Pour conserver sa vie privé il faudrait se désengager de ces réseaux sociaux. Or ce désengager c’est exclure les individus d’un monde connecté.

    La collecte d’information et l’analyse de celle-ci permettent le développement de produits innovants qui permettent de répondre à un besoin précis. Ils doit également resté par actif par rapport aux problèmes concernant la vie privé et de mettre en place une stratégie d’autorégulation. Le développement de la technologie mettent en lumière l’importance de conserver un code de déontologie dans un environnement ou la technologie évoluent rapidement et dans lequel la technologie fait partie de manière intégrante des individus. Des directives menées par l’association ESOMAR ont essayé de réponde à ses préoccupations. Plusieurs directives sont à l’étude notamment:

    Le droit à être oublié: Les individus peuvent demander à ce que les données sur eux sur les réseaux sociaux soient supprimées
    Le droit d’expiration de donnée: Au bout d’un certain temps si la donnée n’a aucune utilisation commerciale elle peut être définitivement effacé

    La propriété d’un graphique social: Il s’agit de divulguer l’information auprès d’un cercle de personnes que l’on souhaite

    Note d’intérêt pour la recherche en cours

    Cet article me permet de démontrer les bienfaits du Big data mais surtout ces limites quand à la vie privé des individus et quelles pourraient être les améliorations à ce sujet.